Après Universal à Osaka, direction Nagoya pour découvrir Nagashima Spaland et sa douzaine de grands huit.
On découvre les strapontins dans l’autocar !
Le parking est plein… de vide !
Semblant figé dans les années 80, le parc a été clairement inspiré par les parcs américains type Six Flags Magic Mountain où Cedar Point. Fort heureusement il continue d’investir et nous avons donc découvert à la fois des pièces de musée et des machines géniales. À commencer par Acrobat, un Flying B&M clone de Manta en Floride, sauf qu’on essaye de nous faire croire que la raie bleue à l’avant du train est une chauve-souris. Excellente machine, notablement appréciée par les porteurs de lunette qui ont pu les garder s’ils avaient une sangle de maintien.
L’occasion également de découvrir ou redécouvrir de vieux coasters Schwarzkopf, dont un équivalent de la Turbine de Walibi Belgium, qui a conservé ici son système de propulsion original et si puissant.
Aucune attente dans le parc toute la journée, ce qui a rendu la visite extrêmement agréable. On regrettera quand même qu’une seule des deux Wild Mouse n’ait été ouverte, que le second circuit de Bobkart était en révision par son constructeur Allemand (l’occasion d’échanger quelques mots dans la langue de Rolland Mack ^^), et que l’immense bateau pirate géant Viking procurait au final moins de sensations qu’un bateau pirate classique.
Des broutilles donc, qui n’auront pas égratigné le plaisir pris à Nagashima Spaland. Treize coasters de plus au compteur, le record sur ce voyage. Et une bonne grosse sieste dans l’autocar du retour ! Prochain objectif Tokyo, et Fuji-Q Highland.
En attendant, découvrons la première Foto Phun élue par notre jury de vaillants organisateurs :
Le voyage a été long, du coup à peine les bagages posées, qu’il fallait déjà aller se restaurer. Coup de chance, l’hôtel était situé au bord du domaine d’Universal, séparé des coulisses de l’immense simulateur « Moi, Moche et Méchant » par seulement une voie ferrée et une rue. Certains voyaient même le grand hit The Flying Dinosaur depuis leur chambre !
Dix minutes de marche suffisaient pour rejoindre l’entrée du parc, donc pour la plupart d’entre nous, la soirée fut une première rencontre avec Universal City Walk, le « Disney Village » local. Tandis que d’autres ont été attirés par le centre-ville. Car oui, si ok détournait le regard du parc, de l’autre côté de l’hôtel apparaissait la cime d’une immense grande roue ! Il n’en fallait pas plus pour les faire craquer, et ils finirent la journée en goûtant leurs premiers sushis véritablement japonais, dans un restaurant à tapis roulant.
Le lendemain, la journée à Universal Studios Japan promettait d’être rude, avec un emploi du temps très strict à respecter, dicté par les deux types de Fast Pass (attractions et animations d’Halloween) pré-acheté et pré-horodatés par Universal. Mais au final c’était une « petite » journée pour ce parc aux files d’attentes plus célèbres encore que ses attractions, avec des temps oscillant entre 90 et 120 minutes pour les plus grosses attentes. Du coup, pour nous qui avions nos Fast Pass, les allées étaient praticables, la zone Harry Potter accessible librement toute la journée et les employés pas trop stricts sur l’heure de retour. Certains auront tentés d’entrer dans une maison hantée avec 15 minutes d’avance : c’est passé. D’autres faire les Minions avec 1 heure de retard : c’est passé aussi.
Samuel avait besoin de conseils pour choisir un boxer.
Ouf, les classiques sont là !
Chucky en famille.
Hard Rock Café, tout à fait traditionnel à Osaka !
En arrivant sans se presser à 8h30 pour l’ouverture, voir même un peu après, il a été possible de faire les deux attractions Harry Potter sans attente ! 5 minutes au petit coaster et un cheminement fluide dans l’immense file d’attente de Forbidden Journey jusqu’au quai d’embarquement !
S’en est donc suivi une journée totalement décontractée, rythmée par les Fast-Pass aux rendez-vous imposés sur les attractions les plus prisées (The Flying Dinosaure, le train en marche arrière en Hollywood Dream, …) entre lesquels nous enchaînions les tours des attractions auxquelles nous avions un accès illimité (Spider-Man, Jaws, Terminator 2:3-D, …)
Pour ces deux dernières, c’était souvent la première et unique occasion de nos adhérents de les découvrir, car elles ont été fermées dans les autres parcs Universal.
Le soir venu, l’ambiance Halloween prenait le dessus dans les ruelles du parc, dans une ambiance différence de la Floride. La plupart des zombies et autres monstres ne sortaient que par moments, et les employés du parc leur ouvraient le passage en dégageant la rue : tout le monde sur le trottoir ! Ce qui n’empêche pas la magie d’opérer, quand vous voyez un japonais déguisé en agent du « SWAT » se recroqueviller sur ses amis car il est poursuivi par un prisonnier américain-zombie ! Ou quand toute une rue bondée, visiteurs et zombies confondus, se met à sauter au rythme de la musique.
Les maisons étaient de qualités inégales, généralement un cran en dessous de la Floride ou de Moviepark Germany, mais mention spéciale à « Insidious », faisant avancer un groupe de huit personnes tenant une corde pour bien avancer tous ensembles.
Côté coasters, Hollywood Dream fut une magnifique surprise, tout comme sa version « Backdrop » avec les sièges tournés vers l’arrière : extrêmement nerveux dans cette position, très puissant.
The Flying Dinosaur est lui aussi un monstre de puissance. Du coup les avis sont partagés : certains ont adoré, d’autres pas. C’est effectivement une machine qu’on ne riderait pas en boucle. Mais quelles sensations ! Quelle vue !
Ce matin nous quittions Osaka pour rejoindre Nagoya. Le trajet, en train, était plus simple. Arrivés à l’heure de déjeuner, c’était après-midi libre et chacun a pu véritablement commencer à se plonger dans l’ambiance des métropoles japonaises.
Demain, en route pour Nagashima Spamand !
P.S. : Le nouveau t-shirt et la pochette Parcs Passion vous plaisent ? Et bien vous pouvez désormais les commander vous aussi sur notre boutique : http://www.parcspassion.org/shop/all-goodies
la mise à jour du blog et l’accès à Internet sont plutôt compliqués depuis la Chine. Alors sachez juste que Shanghai Disneyland est très propre et très jolis. Leur Pirates des caraïbes incroyable !
Nous avons été accueillis chaleureusement par Steve Sulaski, Directeur intégration opérations à Shanghai Disneyland ! Qui nous a fait l’honneur de nous faire visiter le très sélect Club 33 !
« Inégal », c’est un mot qui revient souvent quand on parle d’Europa Park, bien connu pour réaliser des choses absolument sublimes et techniquement à la pointe, mais où il manque souvent un petit quelque chose. Ici une faute de goût, là un manque d’efforts à un endroit ou à un autre, juste un, mais suffisamment visible pour être vu de tous, qui empêchent de s’emballer totalement.
Et sur Eurosat, c’est particulièrement le cas. En tant que coaster familial (dont la taille minimale reste fixée à 1,20 m, dommage), ce nouvel Eurosat rempli bien son contrat : le tracé est le même qu’avant, mais beaucoup plus doux. Le nouveau thème est une bonne idée : la nouvelle façade s’intègre bien mieux dans le quartier français que l’ancien ersatz de Space Mountain.
La file d’attente est le plus grand atout de CanCan Coaster : elle est sublime et chaque salle offre son propre style, et toutes regorges de détails. Il n’y a qu’à voir la porte-fenêtre au bout du couloir, qui fonctionne vraiment et donne accès à une extension de la file dans un jardin, au pied de la rivière.
Les références à l’attraction originelle devraient satisfaire les plus nostalgiques : le robot était tellement vieillot qu’il s’intègre parfaitement au style 1900 dans lequel on l’a caché, comme tout droit sorti de « Metropolis » plutôt que de « Star Wars ». Et surtout, la musique du lift est une sublime réorchestration symphonique du thème original, qui à elle seul pourrait justifier l’existence de cette nouvelle thématisation.
Mais alors, qu’est-ce qui coince ?
La décoration du ride. Après s’être inspiré du Space Mountain original, Eurosat reprends cette fois le concept du Rock’n’Roller Coaster de Floride, nous proposant une virée à travers la Californie, entre palmiers, panneaux d’autoroute et signe Hollywood.
Mais ici la déco est, d’une part, très peu présente. Et d’autre part, on hésitera pas à dire qu’elle est partiellement ratée. Si les nuages qui vous accueillent en haut du lift sont assez sympas, le rares gros éléments du décor sont tous d’un goût assez douteux : l’arc de triomphe et Notre-Dame-de-Paris ne sont pas convaincants. Sensés être des trompes-l’œil peints sur du bois et éclairés en lumière noire, il y a un gros soucis de réalisme : les trompes-l’œil n’en sont pas. Ce sont de bêtes peintures plates sans aucune tentative de faire croire à du relief quand ils sont éclairés en lumière noire. La cathédrale étant même à peine identifiable à cause d’un problème d’échelle.
Le fait de la revoir également pendant qu’on traverse l’arc-de-triomphe n’arrange rien. Les deux s’éclairent en même temps alors qu’il aurait fallu quelques capteurs de plus pour rendre indépendant l’éclairage de chaque élément. Et il y a peut-être également un soucis dans leur orientation par rapport au circuit (trop exactement perpendiculaire au rail, alors que le circuit est en courbe : on voit donc ces décors arriver légèrement de profil, ce qui accentue l’impossibilité d’y croire alors qu’ils ont plats). Enfin, la forte luminosité dans la sphère, en partie due aux éclairages des sorties de secours, n’aide pas non-plus à s’immerger.
Le ride reste agréable, parce que sa file d’attente est à se pâmer, comme celle du Voletarium l’an dernier.
Parce que le circuit est fluide.
Parce que se retrouver à stationner sur le nouvel aiguillage Mack révolutionnaire à 4 destinations et compter les rails autour de nous est kiffant.
Et parce que la musique du lift est magnifique.
Et pour quelques clins d’œil bien sentis à Space Mountain De la Terre à la Lune !
Alors oui, la décoration à l’intérieur du ride laisse sur sa faim, elle laisse même sceptique. Mais le parc en est conscient ! Et travaille dessus. Laissons-nous aller à quelques spéculations : peut-être que par manque de temps, toute la déco n’est pas encore en place ? Peut-être même tous les capteurs n’ont pas été installés ou activés, par manque de temps pour les synchroniser ? Ou peut-être leur faudra-t-il plancher sur de nouveaux éléments de décor à ajouter. Mais s’il semble évident que CanCan Coaster a été ouvert dans la précipitation, il nous paraît également évident que la fermeture hivernale début 2019 sera l’occasion d’améliorer la déco intérieure.
Et qui sait, peut-être aussi de transformer la salle de maquillage, située à côté de la sortie, en boutique ? Parce que si vous voulez du scandale, on en tient un : même pas de boutique à la sortie de l’attraction, en 2018 ! Ça, PERSONNE ne pouvait s’y attendre !
Parcs Passion ce sont des sorties, un magazine, mais aussi des avantages dans certains parcs. En ce début de saison 2017, nous accueillons un nouveau venu : Pokeyland.
Situé à Fey, entre Metz et Nancy, Pokeyland est un parc en pleine nature qui propose de nombreuses activités type accrobranche et tout ce qui s’en approche : Quad, Air Jump, mini golf, saut dans le vide, tir à l’arc, mur d’escalade de 18 mètres, laser game outdoor, poneys, … Parmi les nouveautés 2017,un parcours d’accrobranche spécialement conçu pour les plus petits dès l’âge de 3 ans !
Plan du parc, cliquez pour agrandir.
Pour la première fois, Pokeyland offre un tarif exceptionnel aux adhérents de Parcs Passion : le billet adulte (à partir de 6 ans) à 21 euros au lieu de 27 et le billet enfant (de 3 à 5 ans) à 11 euros au lieu de 15, sur présentation de la carte adhérent en cours de validité.
2017 est une très très grande année pour le Futuroscope. Le parc français ouvre la plus audacieuse de toutes ses attractions : l’Extraordinaire Voyage. Audacieuse en termes d’investissement – 12 millions d’euros – mais aussi sur le plan technique : ce « Flying Theater » est le premier en Europe et tient totalement la comparaison avec le modèle Disney, qui a inventé ce type d’attraction !
Décolle et batifole, tu t’envoles, tu t’envoles, tu t’envoles !
Assis en toute sécurité sur une plateforme qui va doucement s’incliner à 90°, vous vous retrouvez les pieds dans le vide devant une projection 6K. Des effets 4D parfaitement dosés et des mouvements magnifiquement synchronisés parachèvent une expérience de vol qui n’a jamais été aussi bien restituée !
Inaugurée le 10 décembre dernier et ouverte le temps des vacances de Noël, l’attraction a immédiatement convaincu ses premiers testeurs. Votre association était conviée à cet évènement presse et nous vous en avons rapporté une vidéo, que vous avez peut-être déjà dévorée :
À vous de tester !
Aujourd’hui c’est à votre tour de tester l’Extraordinaire Voyage : l’association Parcs Passion vous convie à une journée exceptionnelle le samedi 25 mars prochain. À l’occasion de notre Assemblée générale, organisée au cœur du Futuroscope, nous vous offrons la possibilité de découvrir le « Soarin’ français » dans les meilleures conditions. Parcs Passion et le parc du Futuroscope vous promettent une journée pleine de surprises !
Et ce, à un tarif exceptionnel : 26 €, au lieu de 45 €.
L’occasion également de découvrir ou redécouvrir tous les récents ajouts du parc : l’IMAX laser 4K relief au Kinemax, la Machine à voyager dans le temps des Lapins Crétins, et, selon vos choix de visite, rester jusqu’au nouveau spectacle nocturne créé par le Cirque du Soleil, la Forge aux Étoiles.
Vous souhaitez venir en train ? Vous souhaitez rester une journée de plus et profiter du spectacle nocturne ? Nous vous avons facilité la tâche en repérant pour vous les horaires des trains et les hôtels à proximité. Tout est résumé sur la fiche de l’évènement. Mais les trains et les hôtels se remplissent et les prix grimpent, alors ne perdez plus une seconde et réservez votre journée au Futuroscope à nos côtés ! Vous n’avez qu’à vous inscrire sur cette page.
Vous entrez dans une pièce que vous ne connaissez pas. Ce peut être le bureau d’un écrivain, la chambre capitonnée d’un hôpital psychiatrique, ou n’importe quel autre endroit semblant tout droit sorti d’un film.
Vous ouvrez un tiroir : s’y trouve un mètre de couturière. Vous soulevez le tapis : une croix y est marquée, auriez-vous découvert l’emplacement d’un trésor ? En touchant à tout vous remarquez qu’un tableau cache un coffre-fort. Le code pour l’ouvrir serait-il la distance qui le sépare de la croix sous le tapis ? Fantastique : ça a fonctionné. Et à l’intérieur du coffre, un interrupteur déclenche un passage secret : une bibliothèque de l’autre côté de la salle bascule pour révéler une seconde pièce ! Mais le temps presse : vous n’avez qu’une heure pour accomplir la mission qui vous a été confiée !
Cette aventure digne d’un James Bond, c’est ce qu’on appelle un Escape Game. N’avez-vous jamais eu envie de sauter en dehors du véhicule d’un dark-ride pour vivre au milieu des décors ? L’Escape Game c’est un peu ça. Dans le vaste univers des espaces de loisir, l’Escape Game, par son interactivité, ses décors recherchés et ses histoires dépaysantes, se rapproche plus du travail des parcs à thème modernes que des salles de jeux vidéos ou d’un parc accrobranche. C’est pourquoi Parcs Passion vous y emmène.
Si vous n’avez jamais testé d’Escape Game, Parcs Passion vous invite à découvrir ce loisir d’un nouveau genre dans les meilleures conditions : nous avons sélectionné la société The Game pour l’excellence de ses prestations. Ses salles de haute qualité aux énigmes ludiques et ses employés experts et accueillants, qui garderont toujours un œil sur vous et vous aideront en cas de besoin.
Cerise sur le gâteau, l’expérience que nous avons choisi est une occasion rare : le Braquage du casino pourrait se jouer de façon classique, à 5 joueurs enfermés dans une salle, mais en réservant les 2 salles identiques comme nous l’avons fait, les règles du jeu changent : les 2 équipes sont en compétition et vont pouvoir interagir. Quel groupe sortira en premier ? Qui réussira à repartir avec l’argent du casino ?
Vous seul, avec l’aide de la communauté Parcs Passion, pourrez réussir cette mission. Des adhérents déjà experts en Escape Games seront également présents et vous transmettrons leurs meilleurs trucs pour réussir haut la main cette mission joyeusement périlleuse.
Nous devons tout de même vous mettre en garde, l’Escape Game à un seul défaut : on en devient très vite accro !
Convaincu ? Il ne reste que DEUX places pour cette expérience ! Réservation : sur cette page.
Et si vous avez la moindre question, n’hésitez pas à nous contacter.
Cet article a d’abord été envoyé par e-mails aux adhérents et publié sur Facebook :
L’hiver approche, le froid est là et avec lui l’envie de rester bien au chaud, avec un plaid et un bol de chocolat chaud. Ambiance soirée diapos au coin du feu. Ça tombe bien, nous avons les diapos. Revivez nos évènements récents au travers de photos et de vidéos :
L’émission de Parcs et Attractions vous emmène cette fois à la découverte de Timber. Un évènement historique puisqu’il s’agit seulement du troisième grand huit en bois ouvert en France depuis les années 80 ! Walibi Rhône-Alpes a-t-il réussi son coup ? Timber se compare-t-il à Anaconda et Tonnerre de Zeus ? Réponses dans cette nouvelle vidéo !
Notre compte Instagram vous propose de découvrir l’Extraordinaire Voyage du Futuroscope sous un angle inédit. Reportage à venir.
Nous vous proposons de revivre notre dernier Week-End AIRTIME grâce à la galerie photos commentées de ces trois jours de folie. Paysages à couper le souffle et accueil plus que chaleureux ont rendu ce voyage inoubliable.
La sortie de printemps n’est pas en reste, et vous retrouvez également sur le site les photos de Plopsa Coo et Phantasialand. Nous retournions dans le parc allemand dix ans après notre première visite !
Le numéro #52 du magazine Parcs et Attractions est sorti. Les adhérents y ont découvert une toute nouvelle rubrique dédiée à l’influence du monde des parcs dans l’imaginaire populaire. À lire également, la genèse de la nouvelle attraction du Futuroscope, l’Extraordinaire Voyage. Quelques exemplaires sont encore disponibles dans la boutique.
Boutique où régulièrement des numéros se retrouvent épuisés. Le dernier exemplaire de Parcs et Attractions n° 4 a été expédié il y a quelques jours. Ne tardez plus et complétez votre collection à prix mini.
Et vive le vent nouveau d’hiver !
Janvier 2017 arrive à grands pas, et avec cette nouvelle année s’annoncent de nouvelles expériences pour Parcs Passion !
Rejoignez des passionnés autour des meilleurs hamburgers de Paris. Non-adhérents ? Vous êtes les bienvenus, contactez-nous!
Parcs Passion vous emmène vivre le casse du siècle ! Chez The Game, spécialiste des « Escape Game » de grande qualité, nous vous offrons la possibilité de jouer en équipes, dans deux salles. À la clé, un challenge original et unique en son genre. Attention nombre de places très limité. Cliquez sur l’image pour découvrir tous les détails !
Vous vous êtes sans doute déjà demandé si fabriquer un magazine, c’est compliqué – et la réponse est OUI. Mais vous êtes-vous déjà demandé si l’expédier, c’était facile ? Probablement pas. Et en principe, oui, c’est assez facile. Il faut juste beaucoup d’organisation afin de gérer 130 enveloppes et jongler entre 400 étiquettes autocollantes : celles avec l’adresse des adhérents, celles avec le timbre commandé en ligne, et celles avec l’adresse de l’expéditeur (on songe à acheter un tampon pour ça).
Mais pour le numéro #52 de Parcs et Attractions, que nos adhérents ont reçu il y a quelques jours, les choses ont été un petit peu plus compliquées que d’habitude. À tel point qu’il nous a semblé évident de venir vous les raconter. Ambiance sortie scolaire à la bibliothèque municipale, asseyez-vous en tailleur, le conteur est arrivé…
Il était une fois…
Il était une fois, un magazine comme tous les autres, terminé de mettre en page comme tous les autres dans un logiciel de PAO (Publication Assistée par Ordinateur) et converti en PDF, comme tous les autres. Sauf que ce magazine n’était pas comme les autres. Il ne le savait pas, et ses parents non-plus ne le savaient pas, mais une méchante sorcière lui avait jeté un sort. « Tu ne seras pas lisible par l’imprimeur !!! » l’avait-elle maudît, depuis sa tanière dont on ignore encore aujourd’hui l’emplacement. À vrai dire, personne ne sait trop bien si une sorcière est bien derrière tout ça. Mais le mal, lui était réel : quand le chevalier Imèle arriva chez l’imprimeur royal, celui-ci n’arriva point à ouvrir le PDF maudît.
Le vilain petit PDF
Au dernier étage de la tour Parcs Passion à New York, c’est l’alerte générale. D’abord on décide d’arrêter avec l’écriture façon contes de fée dans cet article. Et ensuite on arrête tout ce qu’on est en train de faire et on rentre au QG afin de se mobiliser pour que le magazine sorte dans les meilleurs délais : sept pages du magazine sont dédiées à la nouvelle attraction du Futuroscope, dont l’inauguration aura lieu le dix décembre : il faut absolument que les adhérents le reçoivent avant cette date, ou l’effet de surprise sera gâché ! Un nouveau PDF est créé, puis un troisième, on coche des boutons, on tire sur des curseurs, on change tous les réglages… mais rien n’y fait. Nous allons jusqu’à transférer le fichier source, celui du logiciel de mise en page, soit près d’un giga-octet de données, à Yves notre président d’honneur, pour qu’il tente de créer le PDF depuis son ordinateur, machine iconique célèbre pour avoir été la matrice de dizaines et de dizaines de numéros de Parcs et Attractions. Sans succès. Nous devons l’impression de ce magazine à la bonne volonté de l’imprimeur, qui a réussi, on ne sait trop comment, à tirer chaque page une à une puis ré-assembler les magazines. En deux temps et en bonne partie manuellement, donc.
Tout cela a mis bien plus de temps que prévu, et la sortie du magazine s’est vue décalée d’au moins une semaine. Problème : l’auteur de ces lignes, également rédacteur en chef de Parcs et Attractions et président de Parcs Passion, devait s’absenter une petite semaine pour se rendre à Lyon, pour quelques jours en amoureux si vous voulez tout savoir.
Bougez avec la Poste
L’occasion de changer une fois de plus de style narratif en passant à la première personne. Me voila donc à expliquer la situation à l’imprimeur et à lui donner l’adresse de mon hôtel à Lyon la semaine suivante. J’ai pris de l’avance en imprimant toutes les adresses, en collant les 400 étiquettes. Me voila donc, un mercredi de fin novembre, parti pour Lyon avec dans mon sac à dos mes vêtements, ma brosse à dent, et 130 enveloppes grand format. Et là il s’est enfin produit un truc bien : les magazines ont été livrés à l’hôtel quelques heures avant mon arrivé. Biiiiieeeeeeen… Contrôle de routine du contenu : R.A.S. Le papier est différent de l’accoutumée, mais notre devis ne précise jamais la finition, donc tout est normal. Et passé l’effet de surprise, j’aime bien cet aspect un peu plus glacé.
On se prend un peu la tête pour répartir les lettres de relance dans les magazines et les enveloppes : qui n’a pas renouvelé en 2016, qui a un tarif pro, qui est pro et nouveau en 2016, qui appartient à une ou plusieurs de ces catégories mais habite à l’étranger, la même chose pour les territoires d’outre-mer qui ont leur propre tarification postale… en deux heures tout est bouclé.
Dans la pochette rouge, quelques enveloppes particulières que je dois encore faire peser avant de les timbrer, ne sachant pas à l’avance quel poids fait le magazine cette fois-ci. À gauche, le stock de magazines restants, qui rejoindra la boutique de l’association.
En arrivant à l’hôtel, de nuit, méga surprise : il y a un bureau de poste au pied de celui-ci. Littéralement, AU PIED de celui-ci.
POW POW POW POOOOOW !!!
Je dois avouer ne jamais m’être préoccupé de la distance que j’aurai à parcourir avec mes 130 magazines jusqu’au bureau de Poste le plus proche. Je n’avais pas pensé au fait que je devrais porter pas loin de deux kilos de magazines sur une distance inconnue. Alors ce bureau juste à côté, TANT MIEUX !!! Vraiment.
Le lendemain matin, mon amie Julie partie travailler, me voila en route pour un périple de cinquante mètres, « mon p’tit carton sous mon bras ». Ah ah ah, tranquiiiille ! Il pleut un peu, heureusement que le bureau est tout proche.
C’est lourd.
Mais… arrivé devant le bureau, giga surprise :
Il est fermé pour travaux !!!
Fermé ! Dans l’obscurité de la veille, ce détail m’avait échappé. Il s’en est fallu de peu, il réouvre moins d’une semaine après. À l’intérieur, je vois des employés s’activer à remplir les rayons de timbres et autres cartons Prêts-à-poster…
Retour à l’hôtel, j’ai fort heureusement jusqu’à midi pour libérer la chambre – merci B&B –, alors changement de stratégie !
Je vide intégralement mon sac à dos et réparti les magazines entre celui-ci et le carton.
Application la Poste téléchargée dans l’iPhone, a priori il y en a un autre a deux ou trois pâtés de maisons.
On prend le même et on recommence.
Cette fois c’est bon. La postière s’étonne que je n’ai pas déposé ça en boîtes aux lettres. Je lui signale que j’ai de quoi remplir une boîte (les énormes BaL jaunes ne contiennent généralement qu’un petit cageot en plastique et pas un immense sac comme on pourrait le croire) et que des enveloppes auraient pu tomber sur le sol mouillé quand le facteur les récupérait. Chez Parcs Passion nous prenons soin du matériel !
Pour l’anecdote, je demande si je peux laisser mon carton vide, pensant qu’un bureau de Poste a forcément des bacs de tri pour tout ce qui est papier et carton, mais la postière décline ma proposition. Je ne veux clairement pas le jeter dans une poubelle classique, mais j’hésite aussi à jeter une telle quantité de scotch dans une poubelle à carton. Me voila devant un petit jardin public, à côté des poubelles de tri, à retirer consciencieusement l’énorme dose de scotch collée par l’imprimeur.
Suffisamment longtemps pour qu’une vielle dame me trouve louche. Mais genre elle me tutoie et me demande « ce que [je] fais« , « ce que j’essaye de cacher » et me propose même de prendre mes cartons car elle « les brule dans son jardin« . Mon dieu. Lyon c’est donc aussi fou que Paris. Elle est finalement repartie et n’a a priori pas appelé la police, tout va bien 🙂
Cette fois j’étais réellement en week-end prolongé. J’allais pouvoir profiter de Lyon… un petit coin de ma tête attendant impatiemment vos premières réactions à l’arrivée de ce magazine, que nous avions souhaité être une surprise, en ne communiquant pas à son sujet.
Depuis cette aventure, la route de Parcs et Attractions se poursuit, avec la préparation du prochain numéro. Et de l’avenir : après les deux numéros #53 et #54, déstinés aux adhérents 2016 et à apparaitre assez rapidement, il se pourrait bien que nous travaillions déjà sur une nouvelle maquette. Quel sera l’avenir de Parcs et Attractions en 2017 ? Peut-être un nouveau format, plus au goût du jour ? Qui sait 😉
Nous n’avions pas pu être présents à l’inauguration de Timber. Nous avons enfin réparé ce manque et vous proposons enfin le test du wooden coaster de Walibi Rhône-Alpes. Timber est le troisième grand huit en bois en France. Le troisième… en vingt-sept ans ! Il y eu Anaconda en 1989 (Big Bang Schtroumpf, aujourd’hui Walygator), l’iconique Tonnerre de Zeus en 1997, et, enfin, cette année, Timber. C’est donc un véritable évènement et sans plus attendre, voici le vlog :
Comme d’habitude, n’hésitez pas à laisser un pouce bleu sous la vidéo et à vous abonner à la chaine YouTube de l’association : ça entretien sa visibilité sur internet et ça nous encourage énormément.
À suivre chez Parcs Passion : les magazines en attente, l’annonce du WEAT 2017, puis en décembre un prochain vlog, au Futuroscope à nouveau, pour découvrir une autre nouveauté extrêmement attendu en France : la version poitevine du célèbre Soarin’ de Disney, un simulateur de vol les pieds dans le vide.