|
Après Universal à Osaka, direction Nagoya pour découvrir Nagashima Spaland et sa douzaine de grands huit.
-
-
On découvre les strapontins dans l’autocar !
-
-
Le parking est plein… de vide !
-
-
-
-
-
Semblant figé dans les années 80, le parc a été clairement inspiré par les parcs américains type Six Flags Magic Mountain où Cedar Point. Fort heureusement il continue d’investir et nous avons donc découvert à la fois des pièces de musée et des machines géniales. À commencer par Acrobat, un Flying B&M clone de Manta en Floride, sauf qu’on essaye de nous faire croire que la raie bleue à l’avant du train est une chauve-souris. Excellente machine, notablement appréciée par les porteurs de lunette qui ont pu les garder s’ils avaient une sangle de maintien.
L’occasion également de découvrir ou redécouvrir de vieux coasters Schwarzkopf, dont un équivalent de la Turbine de Walibi Belgium, qui a conservé ici son système de propulsion original et si puissant.
Aucune attente dans le parc toute la journée, ce qui a rendu la visite extrêmement agréable. On regrettera quand même qu’une seule des deux Wild Mouse n’ait été ouverte, que le second circuit de Bobkart était en révision par son constructeur Allemand (l’occasion d’échanger quelques mots dans la langue de Rolland Mack ^^), et que l’immense bateau pirate géant Viking procurait au final moins de sensations qu’un bateau pirate classique.
Des broutilles donc, qui n’auront pas égratigné le plaisir pris à Nagashima Spaland. Treize coasters de plus au compteur, le record sur ce voyage. Et une bonne grosse sieste dans l’autocar du retour ! Prochain objectif Tokyo, et Fuji-Q Highland.
En attendant, découvrons la première Foto Phun élue par notre jury de vaillants organisateurs :
Geoffrey et compagnie en pyjama à Osaka !
Bien arrivés à Osaka !
Le voyage a été long, du coup à peine les bagages posées, qu’il fallait déjà aller se restaurer. Coup de chance, l’hôtel était situé au bord du domaine d’Universal, séparé des coulisses de l’immense simulateur « Moi, Moche et Méchant » par seulement une voie ferrée et une rue. Certains voyaient même le grand hit The Flying Dinosaur depuis leur chambre !
Dix minutes de marche suffisaient pour rejoindre l’entrée du parc, donc pour la plupart d’entre nous, la soirée fut une première rencontre avec Universal City Walk, le « Disney Village » local. Tandis que d’autres ont été attirés par le centre-ville. Car oui, si ok détournait le regard du parc, de l’autre côté de l’hôtel apparaissait la cime d’une immense grande roue ! Il n’en fallait pas plus pour les faire craquer, et ils finirent la journée en goûtant leurs premiers sushis véritablement japonais, dans un restaurant à tapis roulant.
Le lendemain, la journée à Universal Studios Japan promettait d’être rude, avec un emploi du temps très strict à respecter, dicté par les deux types de Fast Pass (attractions et animations d’Halloween) pré-acheté et pré-horodatés par Universal. Mais au final c’était une « petite » journée pour ce parc aux files d’attentes plus célèbres encore que ses attractions, avec des temps oscillant entre 90 et 120 minutes pour les plus grosses attentes. Du coup, pour nous qui avions nos Fast Pass, les allées étaient praticables, la zone Harry Potter accessible librement toute la journée et les employés pas trop stricts sur l’heure de retour. Certains auront tentés d’entrer dans une maison hantée avec 15 minutes d’avance : c’est passé. D’autres faire les Minions avec 1 heure de retard : c’est passé aussi.
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Samuel avait besoin de conseils pour choisir un boxer.
-
-
-
-
Ouf, les classiques sont là !
-
-
Chucky en famille.
-
-
-
-
Hard Rock Café, tout à fait traditionnel à Osaka !
En arrivant sans se presser à 8h30 pour l’ouverture, voir même un peu après, il a été possible de faire les deux attractions Harry Potter sans attente ! 5 minutes au petit coaster et un cheminement fluide dans l’immense file d’attente de Forbidden Journey jusqu’au quai d’embarquement !
S’en est donc suivi une journée totalement décontractée, rythmée par les Fast-Pass aux rendez-vous imposés sur les attractions les plus prisées (The Flying Dinosaure, le train en marche arrière en Hollywood Dream, …) entre lesquels nous enchaînions les tours des attractions auxquelles nous avions un accès illimité (Spider-Man, Jaws, Terminator 2:3-D, …)
Pour ces deux dernières, c’était souvent la première et unique occasion de nos adhérents de les découvrir, car elles ont été fermées dans les autres parcs Universal.
Le soir venu, l’ambiance Halloween prenait le dessus dans les ruelles du parc, dans une ambiance différence de la Floride. La plupart des zombies et autres monstres ne sortaient que par moments, et les employés du parc leur ouvraient le passage en dégageant la rue : tout le monde sur le trottoir ! Ce qui n’empêche pas la magie d’opérer, quand vous voyez un japonais déguisé en agent du « SWAT » se recroqueviller sur ses amis car il est poursuivi par un prisonnier américain-zombie ! Ou quand toute une rue bondée, visiteurs et zombies confondus, se met à sauter au rythme de la musique.
Les maisons étaient de qualités inégales, généralement un cran en dessous de la Floride ou de Moviepark Germany, mais mention spéciale à « Insidious », faisant avancer un groupe de huit personnes tenant une corde pour bien avancer tous ensembles.
Côté coasters, Hollywood Dream fut une magnifique surprise, tout comme sa version « Backdrop » avec les sièges tournés vers l’arrière : extrêmement nerveux dans cette position, très puissant.
The Flying Dinosaur est lui aussi un monstre de puissance. Du coup les avis sont partagés : certains ont adoré, d’autres pas. C’est effectivement une machine qu’on ne riderait pas en boucle. Mais quelles sensations ! Quelle vue !
Ce matin nous quittions Osaka pour rejoindre Nagoya. Le trajet, en train, était plus simple. Arrivés à l’heure de déjeuner, c’était après-midi libre et chacun a pu véritablement commencer à se plonger dans l’ambiance des métropoles japonaises.
Demain, en route pour Nagashima Spamand !
P.S. : Le nouveau t-shirt et la pochette Parcs Passion vous plaisent ? Et bien vous pouvez désormais les commander vous aussi sur notre boutique : http://www.parcspassion.org/shop/all-goodies
Même si le voyage ne se fera que d’ici quelques mois, les adhérents qui ont cliqué « je participe » se posent déjà des questions comme : faut-il un Visa ? Faut-il prendre des cours de mandarin ou de japonais ? Comment vais-je recharger mon smartphone ? Pourrai-je mettre mon statut Facebook à jour ? Faut-il vraiment être tout nu dans un Onsen ? etc.
Alors tout au long de ces mois avant le départ, nous vous apporterons les réponses à vos interrogations, afin que votre séjour se passe dans les meilleures conditions possible.
Electro. Photo : D.R.
Question de d’électricité !
Accros du téléphone et de la tablette, la question essentielle est : comment vais-je recharger mon smartphone ? Nos prises françaises sont-elles compatibles avec les prises secteur chinoises et japonaises ? Avons-nous vraiment besoin d’un adaptateur pendant notre séjour ? Soyez rassuré, vous pourrez recharger ces objets indispensables chaque soir dans votre hôtel. Mais avant de partager votre chambre avec Electro, lisez ces quelques lignes, cela vous évitera de prendre 20 000 volts en le réveillant trop brutalement !
Speed Formation électrique :
Il existe en effet plus de 15 types différents de prises électriques à travers le monde.
En France et en Europe (sauf en Grande-Bretagne) on utilise les prises type C, E et F, avec un courant de 230 V et 50 Hz.
Prise française sans terre, prise française avec terre, prise avec terre plus traditionnellement trouvable en Allemagne. Photo : D.R.
L’électricité en Chine
Même s’il reste quelques endroits reculés, la Chine est bien électrifiée. Il faut savoir que le courant électrique est de 220 volts avec une fréquence de 50 Hz. Rassurez vous, (presque) tous vos appareils acceptent le courant de 100 à 240 V et 50 à 60 Hz, mondialisation oblige !
Par contre la Chine dispose de différentes prises électriques : la plupart des prises murales acceptent les fiches de type A (Utilisé aux USA) et de type I.
Prise commune aux USA, et prise chinoise… aux yeux bridés. Coïncidence ? Photo : D.R.
Néanmoins, dans les lieux dit « internationaux » comme les hôtels ou parcs d’attractions (vous voyez de qui on parle…) ont trouve une prise qui est de type A et I tout en acceptant les prise de type C (celle de France).
Une prise pour les alimenter tous. Photo : D.R.
L’électricité au Japon
Le courant électrique varie de 100 à 130 Volts et la fréquence est de 50 Hz dans le nord du Japon;, alors que dans l’ouest (le Kansai) et le sud sont en 60 Hz.
Pour les prises électriques, elles sont de type A, identique aux USA et à la Chine à certains endroits. En conséquence, un adaptateur pour prises américaines est indispensable.
Conclusion
En Chine avec votre prise française vous n’aurez pas de soucis, par contre au Japon il vous faudra munir d’un adaptateur type A comme en Amérique !
Sinon prenez un chargeur manuel, après avoir bien fait travailler vos jambes dans les parcs, faites travailler vos bras !
Allez, vous pouvez retourner à votre cours de yoga ou de maniement de baguettes.
À suivre…
Photo : D.R.
Même si le voyage ne se fera que d’ici quelques mois, les adhérents qui ont cliqué « je participe » se posent déjà des questions comme : faut-il un Visa ? Faut-il prendre des cours de mandarin ou de japonais ? Comment vais-je recharger mon smartphone ? Pourrai-je mettre mon statut Facebook à jour ? Faut-il vraiment être tout nu dans un Onsen ? etc.
Alors tout au long de ces mois avant le départ, nous vous apporterons les réponses à vos interrogations, afin que votre séjour se passe dans les meilleures conditions possible.
Crédits : D.R.
Question de sécurité !
Hélas, ni Chuck Norris, Jean-Claude Van Damme ou Steven Seagal ne sont dans la liste des participants. Il faudra donc vous débrouiller seul contre la mafia chinoise, les Yakuza ou autres ninjas. Mais avant de vous faire offrir « Devenir expert en art martiaux en 10 leçons », lisez d’abord ces quelques lignes, cela vous évitera de partager votre chambre avec Michael Dudikoff .
Sécurité
Que cela soit la Chine ou le Japon, ces deux pays ne sont pas du tout dangereux pour nous Européens et de surcroit touristes.
Néanmoins il y a deux différences notable entre la Chine et le Japon, la petite délinquance et le savoir vivre !
En Chine
Crédits : D.R.
Il faut faire attention aux pickpockets surtout dans un parc bondé. En somme, vous devez prendre toutes les précautions pour protéger votre porte monnaie, votre téléphone et autres objets de valeur.
Néanmoins, vous pouvez sortir votre téléphone pour vous repérer dans le parc grâce à l’appli de Disneyland Shanghai, vous ne risquez pas grand-chose, vu qu’ils sont tous aussi en train de consulter leur portable.
Si par malheur vous vous faisiez déposséder de votre téléphone portable, dites vous que c’est un juste un retour au pays pour cet objet made in China !
Dans l’hôtel, nous vous conseillons de placer vos objets de valeur dans le coffre dédié à cet effet ou dans votre valise fermée à clé.
Par contre ce qui peut vous choquer, c’est plutôt le manque de savoir vivre.
On est d’abord surpris par le volume sonore. Les Chinois parlent fort. Il n’est pas rare que des disputes éclatent. Alors s’il vous arrive d’avoir, disons, une « conversation » ne soyez pas impressionné par les vociférations.
Le manque de courtoisie dans les transports en commun ou bien dans les files d’attente surprend également. Ne soyez pas étonné d’être bousculé dans le métro ou bien de jouer des coudes pour sortir. Dans les files d’attentes, il n’est pas rare qu’on vous pousse pour avancer plus vite et si par malheur vous laissez que quelques centimètres entre vous et la personne de devant, ne soyez pas étonné qu’on vous bouscule pour s’y insérer.
Un conseil, soyez vigilant à ne pas vous laisser faire et un bon « espèce d’enfoiré tu ne passes pas » en français évidemment, suffira à calmer l’audacieux ☺
Au Japon
C’est tout le contraire, celui-ci fait parti du trio des pays les plus sûrs au monde en termes de criminalité et de délinquance.
D’abord il n’y a pas ou très peu de pickpockets. Vous pouvez laisser trainer votre téléphone ou sac, personne ne viendra le prendre. Bien au contraire, les Japonais feront tout pour vous le rapporter.
Idem pour le savoir vivre ! Même nous Européens nous passons presque pour des goujats au Japon. Tout est très codifié et heureusement en tant que Gaijin, les Japonais on une certaine indulgence envers notre comportement très Frenchie.
Crédits : D.R.
Par exemple dans le métro, sur le quai mettez vous bien sur le coté des portes pour laisser les gens sortir et attendez que tout le monde soit sorti. Vous verrez, les Japonais formeront une file naturellement. Comme pour prendre les Escalators : une file va se former automatiquement et vous verrez que cela est bien plus fluide que nos attroupements à Nation par exemple !!
Crédits : D.R.
C’est la même chose pour les files d’attente dans les parcs, pas la peine d’avoir peur de se faire doubler. Par contre faudra savoir courir pour récupérer des Fast Pass de Toy Story Mania…
Le sol Japonais !
Si vous sentez des vibrations, c’est soit que vous êtes à bord d’un Vekoma soit que le sol tremble pour de vrai. Alors voici quelques consignes à suivre :
Si vous êtes à l’intérieur : « ABRITEZ-VOUS ET AGRIPPEZ-VOUS »
- Restez à l’intérieur.
- Abritez-vous sous un meuble lourd, comme une table, un bureau, un lit ou tout meuble solide.
- Couvrez votre tête et votre torse afin de vous protéger de tout objet qui pourrait vous tomber dessus.
- Agrippez-vous à l’objet sous lequel vous êtes réfugié afin de rester couvert. Préparez-vous à suivre cet objet en mouvement jusqu’à ce que le tremblement ait cessé.
- S’il n’y a aucun meuble solide sous lequel vous pouvez vous réfugier ou si vous êtes dans un couloir, mettez-vous en position accroupie le long d’un mur intérieur et protégez votre tête et votre cou avec vos bras.
- Si vous êtes dans un centre commercial, entrez dans le magasin le plus proche. Éloignez-vous des fenêtres et des rayons comportant des objets lourds.
Si vous êtes à l’extérieur
- Restez à l’extérieur.
- Dirigez-vous vers un endroit dégagé, à l’écart des immeubles. L’endroit le plus dangereux se situe à proximité des murs extérieurs.
Internet en Chine
Comme vous le savez, Internet est très surveillé et certains sites ou applications ne fonctionnent pas en Chine. C’est le cas de Facebook, vous voyez le nombre de notifications mais impossible d’ouvrir l’appli. Idem pour pas mal de messageries instantanées et cela évolue souvent dans le mauvais sens. WhatsApp fonctionnait mi-2017 mais aujourd’hui est bloquée. La seule application qui « fonctionne » est WeChat, l’app préférée des Chinois et surtout du gouvernement.
N’essayez pas non-plus un VPN, ceux-ci sont régulièrement bloqués. Et pour seulement 3 jours, une petite cure sans internet ne vous fera pas de mal !!
Conclusion
Rangez votre aérosol anti-agression et visitez, regardez, observez, avec humilité. Tout se passera à merveille.
Allez, vous pouvez retourner à votre cours de yoga ou de maniement de baguettes.
À suivre…
Crédits : D.R.
Même si le voyage ne se fera que d’ici quelques mois, les adhérents qui ont cliqué « je participe » se posent déjà des questions comme : faut-il un Visa ? Faut-il prendre des cours de mandarin ou de japonais ? Comment vais-je recharger mon smartphone ? Pourrai-je mettre mon statut Facebook à jour ? Faut-il vraiment être tout nu dans un Onsen ? etc.
Alors tout au long de ces mois avant le départ, nous vous apporterons les réponses à vos interrogations, afin que votre séjour se passe dans les meilleures conditions possible.
Pour aller aux toilettes en Asie, il va falloir tout réapprendre. Crédits : D.R.
Question de petits ou gros besoins !
Non, on ne parle pas ici de votre besoin de faire des parcs, mais juste de faire ses petites ou grosses commissions et pas dans les magasins, s’il vous plait !!! Bon vous l’aurez compris, on va vous parler de lieux d’aisance, de cabinets, de toilettes, de chiottes finalement.
Notre voyage se déroulant dans deux pays ayant une hygiène allant de « acceptable » à « plus que parfait », il ne sera pas nécessaire de remplir votre valise de papier toilette. Mais néanmoins pour la première fois à Parcs Passion, une petite explication sur les toilettes s’impose aux participants.
Pas la peine d’aller jusque là, on vous dit tout ! Crédit : Parcs Passion
Les WC en Chine
Si l’envie est de ne pas visiter Disneyland ou la ville de Shanghai, mais de vous aventurer dans la campagne profonde, un conseil : ne soyez pas regardant ou alors retenez-vous jusqu’au retour à votre hôtel. La Chine est un pays en pleine évolution et contrasté. Ainsi pour le sujet qui nous préoccupe, les WC vont du simple trou sans porte, évidemment situé plutôt à la campagne, à des WC à l’européenne dans les villes et lieux touristiques. C’est la raison pour laquelle le gouvernement Chinois décerne des étoiles aux meilleures toilettes. Ainsi vous pourrez trouver des toilettes ayant 3 ou 4 étoiles. Malheureusement le guide Water & Closets n’existe pas en Chine, alors pour les dénicher, cela sera au petit bonheur la chance ou bien en téléchargeant la nouvelle application : National Public Toilet Cloud qui est disponible via WeChat !
En résumé, si vous ne quittez pas l’hôtel, Disneyland et la ville de Shanghai, vous aurez quoi qu’il arrive des toilettes comme chez nous, à un détail près…
Hein ?
Oui, sinon, pourquoi ce billet ?
Vous remarquez un détail ? Crédit : D.R.
Car c’est au moment d’aller aux toilettes, que vous devrez bien choisir quelle porte pousser. Pas d’affolement, les pictogrammes à l’entrée vous mènerons vers votre destination classique, femme, homme et même famille. Après c’est plus délicat… Car il existe encore et même dans les endroits dit moderne des WC à la turque. Oui, ceux qui étaient encore dans les écoles pour les moins jeunes d’entre-vous. Alors pour ne pas vous tromper, repérer bien le picto qui représente un WC « normal » sur la porte. Soyez attentif, à Shanghai Disneyland, il se trouve souvent sur un coté et il n’y en a très peu… voir même un seul !
Tout est dans le détail ! Crédit : D.R.
Les WC au Japon
Ouf me direz-vous, on vient de passer l’épreuve la plus difficile avec les toilettes Chinoise ? Que nenni !!
Certes au Japon les toilettes sont un art comme peut l’être la calligraphie, certes l’hygiène est porté à son paroxysme, mais vous serez parfois confronté aussi à des toilettes à la turque. Ce sont en fait les toilettes dites traditionnelles, les washikidaibenki. Donc encore une fois, soyez prudent en poussant une porte.
Passons enfin aux toilettes spécial geek ! Les toilettes high-tech, qui sont les yoshikidaibenki. Véritables appareils multifonctions (mais ne font pas encore le café), ces WC sont équipés de différents systèmes qui rendent la vie plus agréable : lunette chauffante, jet d’eau qui lave le postérieur, souffle d’air pour sécher. Il y aussi certaines options comme la lunette qui se rabat toute seule, une musique d’ambiance pour masquer les bruits…
Bien entendu, pour piloter votre cuvette, il faut une certaine habitude sans quoi si vous êtes un homme, vous risquer d’actionner le bouton lavage du minou !
Heureusement, les fabricants de toilettes japonais ont récemment adopté une signalétique standard en vue notamment des jeux olympique en 2020. Huit pictogrammes ont été standardisés : tirer la chasse (1), tirer la chasse en mode éco (2), ouvrir le battant sans le toucher (3), lever la lunette sans la toucher (4), STOP! (5), nettoyage de l’anus (6), nettoyage de la vulve (7), séchage (8).
Honnêtement, pas de quoi s’inquiéter : c’est clair ! Crédit : D.R.
Evidemment, tous ne sont pas standardisé, mais vous ne risquez rien en testant les différents boutons, vous ne compromettrez pas vos partie intimes, on vous le promet.
Petite précision, la plupart des toilettes permettent de régler la pression du jet. Par défaut, la pression pour la vulve est moins forte que pour l’anus (c’est à ce moment que vous pouvez vous rendre compte du bon ou mauvais choix). Autre option assez courante, la température de l’eau peut aussi être réglée.
Maintenant que vous êtes rassuré, petit exercice : trouvez où se règle la température de l’eau… Crédit : D.R.
Si vous séchez devant le tableau de bord digne d’un A380, rassurez-vous, vous faites parties des 25 % de touristes qui ne sont tout simplement jamais parvenus à les utiliser.
Pour les traditionalistes indécrottables, il vous reste la solution d’utiliser le papier toilette toujours disponible en cas de secours ou plus couramment pour sécher plus vite.
Mais un conseil, essayez toujours, car vous ne pourrez pas vous en passer et de retour en France vous serez presque nostalgique des toilettes made in Japan !
Bonus spécial hommes
Pourquoi est-ce qu’on vous montre soudainement des jeux vidéo ? Crédit : D.R.
Tout le monde sait que les japonais sont fous de jeux vidéo, alors même en pause « pipi », ils peuvent jouer dans les urinoirs ! Oui, vous contrôlez le jeu avec… votre jet d’urine. Par exemple, dans le jeu Graffiti Eraser vous lavez des graffitis sur les murs ou bien dans le jeu The North Wind and the Sun and Me, votre jet vous permet de soulever la jupe des filles. Ainsi, plus grande est la pression, plus la jupe est soulevée… Vous trouverez ses urinoirs un peu spéciaux principalement dans les salles d’arcade qui foisonnent à Akihabara.
C’est autre chose que la mouche imprimée dans les urinoirs allemands ! Crédit : D.R.
Conclusion
N’hésitez pas à regarder avant de vous engager dans les toilettes en vérifiant bien qu’elles sont de style européen et apprenez par cœur le manuel « les Toilettes japonaises pour les nuls ».
Allez, vous pouvez retourner à votre cours de yoga ou de maniement de baguettes.
À suivre
Et pour le prochain épisode, pensez à réviser votre Mawashi-Zuki, cela pourrait être utile !
??? Crédit : D.R.
Même si le voyage ne se fera que d’ici un an et demi, les adhérents qui ont cliqué « je participe » se posent déjà des questions comme : faut-il un Visa ? Faut-il prendre des cours de mandarin ou de japonais ? Comment vais-je recharger mon smartphone ? Pourrai-je mettre mon statut Facebook à jour ? Faut-il vraiment être tout nu dans un Onsen ? etc.
Alors tout au long de ces mois avant le départ, nous vous apporterons les réponses à vos interrogations, afin que votre séjour se passe dans les meilleures conditions possible.
Comme Leveinard, suivez les conseils de l’infirmier Yves. Crédit : D.R.
Question de santé !
Même si vous êtes hypochondriaque, ce voyage se passera en toute sécurité si vous observez quelques règles de base. Sinon, l’option rapatriement par Planète Assistance* vous sera offerte !
Vaccinations
Si par malchance, vous avez la fièvre, celle-ci ne sera pas jaune ! Aucune vaccination n’est exigée pour les voyageurs en provenance d’Europe. Il n’y a pas de fièvre jaune en Chine ni au Japon. Par contre les vaccins habituels (diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche) sont néanmoins recommandés. Notre séjour se passera principalement dans des grandes villes, donc pas d’inquiétude au sujet de la rage (présente en Chine dans les zones rurales) ou bien l’encéphalite japonaise (qui sévit particulièrement dans les zones de rizières et pendant la mousson).
On vous le dit : Tout est sous contrôle !!
Hygiène
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) considère que le Japon possède un niveau sanitaire équivalant à celui de l’Europe de l’Ouest ou de l’Amérique du Nord.
En dépit de l’accident de la centrale de Fukushima, l’OMS juge le risque sur la santé minime. Donc pas besoin d’emporter des comprimés d’iode, vous ne vous transformerez pas en Godzilla !
Pour la Chine, il s’agit d’un pays à l’hygiène précaire. Néanmoins, les villes comme Shanghai, les hôtels de luxe et bien sur les parcs d’attractions sont d’un niveau tout à fait correct.
Par contre l’eau du robinet n’est potable nulle part. Donc il est impératif de ne boire que des bouteilles d’eau fermées, des sodas… ou de la bière, bien sûr !
Une image vaut mille mots. Montage : Yves Merienne.
Les fraudes massives sont fréquentes, et souvent très graves lorsqu’elles concernent les produits alimentaires. Alors attention aux contrefaçons, qui sévissent même pour les boissons connues comme la bière Budweiser ! Idem pour la contrefaçon de médicaments qui touche tous le pays.
Si vous souhaitez néanmoins demander un verre d’eau dans un restaurant, ne soyez pas surpris qu’elle vous soit servie chaude. Vu que l’eau a toujours été dangereuse, les Chinois ont pris l’habitude de boire l’eau bouillie et chaude, comme cela, ils étaient sur qu’elle était buvable.
Pollution
En Chine, certaines zones très polluées comme Shanghai peuvent poser des problèmes aux voyageurs allergiques, asthmatiques, cardiaques ou souffrant d’insuffisance respiratoire. Pour vous rassurer, le gouvernement chinois a fermé plus de 150 usines autour de Disneyland. Mais il y a peu de cas de personnes se retrouvant gravement malades. C’est surtout une gène au niveau de la respiration ou bien des picotements dans la gorge. Vu le peu de temps que l’on reste, cela s’estompera rapidement.
Le port du masque est courant en Asie. Crédit : D.R.
Au Japon, la pollution vient souvent de la Chine… Pour la ville de Tokyo, la pollution a fortement baissé depuis l’interdiction des véhicules diesel et l’application de normes drastiques.
Dans le reste des lieux où nous séjournerons, la pollution est identique à Tokyo ou même à Paris.
Par contre que cela soit au Japon ou en Chine, le port d’un masque est courant. Donc si vous souhaitez en porter un, on ne vous prendra pas pour un hurluberlu.
À Tokyo Disneyland, des masques anti-pollution thématisés… mais en tailles enfants 🙁 Crédit : D.R.
Conclusion
Ne buvez pas d’eau du robinet ou d’une provenance douteuse et ne buvez que de l’eau en bouteilles fermées ou bien des sodas ou de la bière.
Allez, vous pouvez retourner à votre cours de yoga ou de maniement de baguettes.
Tout est plus facile avec des chats ! Crédit : D.R.
À suivre
Et pour le prochain épisode, un billet très spécial sur…
??? Crédit : D.R.
…mais c’est quoi ce pictogramme ?!¿
* Planète Assistance est la société d’assurance spécialisée dans l’aide aux voyageurs français à l’étranger où travail Michel Bernadin… Banzaï !
Même si le voyage ne se fera que d’ici un an et demi, les adhérents qui ont cliqué « je participe » se posent déjà des questions comme : faut-il un Visa ? Faut-il prendre des cours de mandarin ou de japonais ? Comment vais-je recharger mon smartphone ? Pourrai-je mettre mon statut Facebook à jour ? Faut-il vraiment être tout nu dans un Onsen ? etc.
Alors tout au long de ces mois avant le départ, nous vous apporterons les réponses à vos interrogations, afin que votre séjour se passe dans les meilleures conditions possible.
Passage de l’immigration au Japon. Crédit : D.R.
Première question : Les formalités administratives
Premièrement, votre carte d’étudiant, même si elle est tout pour vous, ne vous sera pas utile pour ce voyage.
Le passeport
Votre passeport devra avoir une date de validité supérieure à 6 mois après le voyage (attention, à un jour près l’immigration chinoise peut vous faire des chinoiseries et donc vous refuser l’entrée). Si vous avez un passeport non-biométrique, rassurez-vous, il sera accepté que cela soit en Chine ou au Japon.
Au Japon, les autorités consultent systématiquement les fichiers d’Interpol. Ainsi, si vous utilisez un passeport qui a été déclaré perdu, volé, périmé ou ayant une validité insuffisante, c’est direct retour vers le pays d’embarquement… donc en Chine ! (Et là c’est un adhérent Parcs Passion assigné à résidence en Chine !)
Le billet d’avion
Certes, c’est indispensable pour prendre l’avion, mais aussi obligatoire pour pouvoir entrer en Chine. Quand le gentil (à ce stade il est toujours gentil) policier vous demande votre passeport, n’oubliez pas de présenter votre billet d’avion au départ de Chine. Cela prouvera que vous comptez bien quitter le pays. Au Japon, ils sont moins curieux.
De toutes façons, ce billet d’avion, vous l’aurez forcément pris avec vous au moment de partir… sinon c’est que vous ne partez pas !
Le Visa
Visa or not Visa, that is the question*.
Pas la peine d’aller sur le site de l’ambassade Chinoise, qui n’est même pas à jour, ou de demander aux Frères Tang, la réponse est : pas de Visa.
Oui, vous n’aurez pas besoin de Visa pour rentrer en Chine, ni au Japon.
Petite explication de texte : En Chine, depuis le 30 janvier, les ressortissants de 51 pays – dont la France – qui sont en transit vers un pays tiers (au hasard… le Japon), ont une dispense de Visa. Cette dispense est valable pour les séjours n’excédant pas les 144 heures (soit 6 jours, c’est plus que nécessaire dans notre cas). Cette nouvelle réglementation n’est applicable que pour des séjours dans les provinces du Jiangsu et du Zhejiang ainsi qu’à Shanghai : ça tombe bien, c’est là que nous allons ! Il faut posséder un billet d’avion (voir le point plus haut) et/ou un visa pour le pays de destination (pour nous c’est le Japon : pas besoin de Visa au Japon, donc le billet d’avion suffira) pour prouver que nous sortirons bien de Chine dans les 6 jours.
File d’attente spéciale pour les escales d’un à six jours en Chine. Crédit : Yves Merienne.
Donc, si Shanghai fait parti d’un voyage et n’est juste qu’une escale, pas besoin de visa. Ce qui est notre cas puisque nous allons faire Paris – Shanghai – Osaka puis Tokyo – Paris.
Pour info, vous retiendrez que si vous vouliez faire un simple voyage aller-retour en direction de Shanghai (exemple : Paris – Shanghai – Paris), il vous faudrait un visa obligatoire.
Conclusion
Votre obligation : avoir un passeport valide 6 mois après le dernier jour du voyage, à votre nom bien sûr. Rien d’autre. Pour le billet d’avion, on s’en occupe !
Allez, vous pouvez retourner à votre cours de yoga ou de maniement de baguettes.
Tout est plus facile avec des chats ! Crédit : D.R.
La suite au prochain épisode…
* Visa ou pas Visa, c’est la question (Traduction en Français, conformément à loi n° 94-665 du 4 août 1994, même si vous aviez sans doute compris).
|
|